Discriminer l’Humain Massacrer l’animal : Les Deux visages d’une même inconscience, un cochon derrière des barreaux et un homme blanc insultant un homme noir

🔍 Deux violences, une même racine : la conscience primaire en action

Dans la continuité de mon étude sur les taux vibratoires humains, cet article met en lumière un phénomène rarement abordé : la violence envers les animaux et la discrimination entre humains sont deux expressions d’une même fréquence vibratoire.
Il s’agit d’une réalité troublante, révélatrice de la montée d’une conscience primaire, de basse fréquence, qui se manifeste autant dans les rapports entre humains que dans notre rapport aux autres espèces vivantes.
Cette conscience fragmentée s’exprime à travers deux groupes vibratoires distincts, correspondant aux paliers de 15 000 à 19 000 unités Bovis, puis de 19 000 à 24 000 unités Bovis.

« Quand l’humanité justifie l’injustifiable, banalise la cruauté et sacralise la peur, c’est tout le vivant qui en paie le prix. »

🎥Pour approfondir cette réflexion vibratoire sur la violence systémique, je vous invite à regarder la vidéo associée à cet article : 👉Regarder la vidéo ici

📏 À propos des unités Bovis

Les unités Bovis sont une échelle symbolique issue de la radiesthésie, utilisée pour représenter le taux vibratoire d’un être, d’un lieu ou d’une conscience.
Elles n’ont pas de valeur scientifique, mais servent à illustrer des niveaux d’énergie ou de conscience

👉 Pour mieux comprendre ces différents niveaux de conscience et situer votre propre fréquence vibratoire, je vous invite à lire cet article : La Vérité sur le Taux Vibratoire Humain : De l’Inconscience aux Étapes de l’Éveil.

🔴 Une recrudescence alarmante de la conscience primaire

La montée du nationalisme, du racisme et des mouvements identitaires en France et dans le monde ne sont pas de simples faits politiques : ce sont les manifestations visibles de cette frange vibratoire basse de l’humanité.

😨 Peur, contrôle et rejet de l’autre

Dans cette zone de conscience, la peur, la méfiance, le besoin de contrôle et l’ignorance dictent les comportements. Le rejet de l’autre est perçu comme une forme de protection, et non comme un enfermement mental.

La discrimination comme norme

Cette même conscience accepte, voire promeut, la discrimination des humains en fonction de leur origine, couleur de peau, religion ou orientation sexuelle. Ce que l’histoire a pourtant durement condamné — nazisme, colonisation, apartheid — revient à pas feutrés dans les discours, les urnes, les lois.

Et cette violence normalisée ne s’arrête pas à l’humain.

💀 Une même logique de domination : des camps aux abattoirs

📈 Le chiffre effrayant des victimes animales

Chaque année, plus de 80 milliards d’animaux terrestres et des centaines de milliards de poissons sont sacrifiés dans une logique implacable de domination. Les élevages intensifs ne sont rien d’autre que des camps d’enfermement, où les corps sont entassés, décharnés, gazés, broyés par millions. Comme si l’humain était un dieu autorisé à distribuer la vie ou la mort. Cette brutalité n’est pas sans rappeler les pires dérives de l’histoire humaine.

🕯️ Un parallèle historique dérangeant

Comme jadis, lorsque les corps des juifs, des opposants, des « indésirables » étaient traités comme des déchets, aujourd’hui ce sont les corps d’êtres non humains, mais tout aussi sensibles, qui finissent dans des fosses ou des camions d’équarrissage.

On ne parle plus de victimes, mais de « marchandises », de « tonnes de viande », de « protéines animales ». Et l’on continue, jour après jour, comme si tout cela n’avait pas de conséquences vibratoires, morales ou spirituelles.

Edgar Kupfer-Koberwitz, survivant de Dachau a exprimé avec une profondeur bouleversante cette vérité essentielle :

« Je refuse de manger des animaux parce que je ne peux pas me nourrir des souffrances et de la mort d’autres créatures… J’ai moi-même tant souffert que je ressens les douleurs des autres en me souvenant de mes propres souffrances. »

🧠 Mécanisme psychique commun

Comparer les abattoirs aux camps de concentration n’est pas une provocation gratuite, mais une tentative de révéler un même mécanisme : la négation de l’autre en tant qu’être sensible.
Ce processus de déshumanisation, ou plutôt de désensibilisation, consiste à retirer toute valeur à celui ou celle que l’on veut dominer, qu’il soit humain ou animal.

« Tant que les hommes massacreront les bêtes, ils s’entretueront. Celui qui sème la mort ne peut récolter la vie. »Pythagore

Interrogation essentielle

Alors, comment peut-on croire qu’une société capable de justifier la cruauté envers les animaux serait capable d’honorer la dignité humaine ?

💔 Le cœur du problème

Voilà le cœur du problème : tant que nous penserons qu’il existe des vies supérieures et d’autres inférieures, nous justifierons toutes les violences.

Tant que nous hiérarchiserons le vivant, nous resterons dans une conscience primitive.

Et tant que nous continuerons à croire que notre confort vaut plus que la vie d’un être sensible, aucune paix durable ne sera possible.

🔴 La conscience primaire : entre 15 000 et 19 000 unités Bovis

Dans ce premier palier vibratoire, appelé zone du « bête et méchant », l’humanité manifeste ses instincts les plus bruts marqués par une insensibilité profonde.

C’est au sein de ce groupe que le racisme s’exprime le plus ouvertement, sans fard ni retenue. La peur de l’autre, le rejet de la différence et l’adhésion aux idéologies extrêmes y trouvent un terreau fertile. Une violence qui ne se limite pas aux relations humaines, mais s’étend également au règne animal, dans une même logique de domination et de déshumanisation.

⚠️ Conscience basse = hiérarchie arbitraire

À un niveau vibratoire très bas, l’humain perçoit les formes de vie à travers une hiérarchie illusoire.
Les êtres sont classés comme « supérieurs » ou « inférieurs », selon leur :

  • utilité
  • apparence
  • sexualité
  • soumission aux normes dominantes

👉 Cette perception est déconnectée de l’empathie, de la sensibilité et du sacré du vivant.

🧠 Racisme, spécisme, domination

Dans cet état de conscience fragmentée, naissent :

  • le racisme
  • le spécisme
  • la croyance en une supériorité naturelle de certains groupes (humains ou non)

Les animaux sont réduits à des objets, ressources ou divertissements. Leur souffrance est ignorée, car l’humain est coupé de l’unité du vivant.

🎯 Un terrain fertile pour la haine

Ce niveau accueille sans gêne :

  • la peur de l’autre
  • le rejet de la différence
  • l’adhésion aux idéologies extrêmes

La violence y circule librement, tant envers les humains que les autres espèces. Tout est guidé par une même logique de pouvoir, de contrôle, de déshumanisation.

🦌 Chasseurs : l’ombre d’une conscience déconnectée

Les chasseurs, symboles vivants de cette vibration basse, tuent par plaisir, tradition ou légitimité sociale.
Ils incarnent la domination brute, celle qui nie la sensibilité animale et justifie la mort gratuite.

❌ Il ne s’agit pas de survie.
✅ Il s’agit de domination d’un être sur un autre, en toute conscience.

🍷 Croyances toxiques & santé : l’autodestruction banalisée

Beaucoup vivent dans une dissonance cognitive chronique.

👉 Apéro quotidien « parce que c’est convivial »
👉 Vin à table « parce que c’est culturel »
👉 Viande matin, midi, soir « parce qu’un repas sans viande, c’est pas un vrai repas »

Résultat : cancers, AVC, foie saturé, obésité
Mais aucune remise en question.
Ces habitudes sont sacrées, intouchables, même si elles tuent à petit feu.

🎯 Frustration sociale = recherche de coupables

Ce sont souvent ces mêmes personnes qui :

  • accusent les pauvres de paresse
  • désignent les migrants comme responsables de tous les maux
  • défendent un système qui les broie eux-mêmes

❌ Jamais de critique structurelle
❌ Jamais de regard sur leurs propres contradictions

🧕 Incohérences culturelles : morale à géométrie variable

Ils trouvent « choquant » :

  • une femme qui porte un voile
  • une minorité qui vit autrement
  • une voix dissidente face au modèle dominant

Mais :

  • Jeter un chien à la SPA avant les vacances ?
  • Envoyer des millions d’animaux à l’abattoir chaque jour ?
  • Traîner ses enfants dans des fast-foods ultra-transformés ?

👉 Ça, c’est « normal ».

🔶 La moyenne humaine : entre 19 000 et 24 000 unités Bovis

Dans ce second niveau, plus subtil mais toujours limité, évolue la majorité des humains actuels. L’être humain y est prisonnier de son conditionnement mental et social, tiraillé entre :

  • une hypocrisie bien-pensante
  • une discrimination passive
  • la quête de confort matériel
  • et la peur de l’inconnu

👉 Le tout, en fermant volontairement les yeux sur les violences qu’il cautionne, par habitude ou indifférence.

🧩 Une conscience fragmentée et divisée

La majorité des humains se trouve enfermée dans une conscience divisée, coupée du vivant.
On se croit , informé, lucide, responsable, mais cette posture masque une profonde incohérence intérieure.

👉 Ce niveau de conscience perçoit la souffrance (animale, humaine, écologique), mais la rationalise ou la minimise pour ne pas bousculer un confort intérieur fragile.

🎭 Tolérance de façade & hypocrisie sociale

Une violence moins brutale, mais toujours bien présente, se manifeste sous des formes socialement acceptables :

  • Tolérance de façade, jugements silencieux
  • Micro agressions, racisme discret
  • Moralité à double vitesse, bienveillance sélective
  • Discours progressiste, mais actes excluants

👁‍🗨 Le racisme n’est plus crié, mais insinué : dans les regards, les silences, les stéréotypes, les choix politiques.
On affiche l’ouverture, mais la peur de la différence persiste, maquillée par un vernis de modernité.
👉 On préfère fermer les yeux plutôt que remettre en question ses certitudes.

🥩 Incohérences alimentaires et déni éthique

L’alimentation est l’un des terrains où les contradictions vibratoires sont les plus visibles :

  • La consommation de viande est rarement remise en question, malgré la conscience grandissante de la souffrance animale.
  • Elle reste liée à la tradition, au statut ou au plaisir personnel, assumé malgré les conséquences.
  • Sur le plan écologique, on adopte des gestes visibles (tri, bio, plastique) mais réduire la viande reste tabou.
  • La souffrance animale est largement ignorée, éclipsée par le plaisir immédiat.
  • 👉 Lorsque la dissonance devient trop forte, le déni devient un refuge.

👥 Empathie conditionnelle & justice sélective

  • Ceux qui touchent les aides sont vus comme des profiteurs, pendant que les privilèges personnels sont défendus sans remise en question.
  • L’empathie est réservée à ceux qui nous ressemblent ou nous arrangent.
  • On prône l’éthique, mais on cautionne des systèmes d’exploitation tant qu’ils ne dérangent pas notre confort.

👉 Une bienveillance sélective se met en place : empathie pour certains, indifférence ou mépris pour d’autres.
👉 On se voit comme citoyen responsable, tandis que les plus fragiles (bénéficiaires d’aides, migrants, minorités) sont accusés de profiter du système.

🧍 Lien rompu avec le vivant

  • L’autre (humain ou animal) est perçu comme une menace, un produit, ou une variable secondaire.
  • L’exploitation animale et les injustices sociales sont normalisées, tant qu’elles n’ébranlent pas notre quotidien.
  • Le racisme reste feutré mais actif, ancré dans des schémas inconscients jamais remis en question.
  • 👉 On hiérarchise les vies, justifiant ainsi violences et indifférences.

« Ce n’est pas un signe de bonne santé mentale que d’être bien adapté à une société profondément malade. »
Jiddu Krishnamurti

💡 Tant qu’on refuse de voir…

Tant que nous fermerons les yeux sur cette incohérence systémique, que nous tolérerons la haine d’un côté et la cruauté de l’autre, nous resterons coincés dans le même cycle : violence, souffrance, destruction.

🌟 Vers un éveil collectif

L’éveil collectif commence quand chacun reconnaît que toute vie a une valeur, que le vivant est un miroir sacré. Le respect ne se segmente pas.

🛡️ Sortir de la conscience primaire

👉 Si vous souhaitez amorcer un véritable changement intérieur, commencez par élever votre fréquence au quotidien. Pour vous accompagner sur ce chemin, découvrez cet article : Comprendre et Élever son Taux Vibratoire.

🤝 Il ne s’agit pas de juger, mais de prendre conscience.

La véritable écologie, la véritable spiritualité, la véritable humanité commencent par la reconnaissance du sacré du vivant. Un sacré qui s’exprime sous toutes ses formes, sans hiérarchie ni exclusion.

📈 Élever sa fréquence vibratoire

C’est en remontant en fréquence, que la vision change :

  • Là où l’on voyait un « animal de rente », on reconnaît un être sensible
  • Là où l’on rejetait l’autre, on comprend sa peur.
  • Là où l’on voulait dominer, on cherche à coexister.

Discriminer ou respecter. Détruire ou élever. La direction que prend le monde dépend de la fréquence à laquelle nous choisissons de vibrer.

🔚 Conclusion : Discriminer l’Humain, Massacrer l’animal : Les Deux visages d’une même inconscience

La discrimination humaine et la maltraitance animale ne sont pas des dérives séparées. Ce sont les deux symptômes d’une même conscience primitive, dominée par la peur, l’ego et l’oubli du sacré. Tant que nous légitimerons la souffrance d’un être sensible, humain ou non humain, nous perpétuerons une société déconnectée de l’essentiel : l’amour, le respect et la vie.

Sortir de l’inconscience, vibrer vers la Vie

La vraie révolution ne commence ni dans les lois, ni dans les urnes, mais dans le cœur et la fréquence de chacun. Changer le monde, c’est d’abord changer notre regard. Élever son taux vibratoire, c’est transformer sa manière de penser, d’aimer, d’exister.

Le respect du vivant commence par la conscience de ce que nous émettons. Vibrons haut, pour cocréer un monde qui honore toute forme de vie.

« On reconnaît le degré de civilisation d’un peuple à la manière dont il traite ses animaux. »Gandhi


🌱 Et maintenant ? Que faire face à cette réalité ?

Face à une société où la souffrance est banalisée et l’incohérence normalisée, l’acte le plus radical, le plus doux et le plus puissant à la fois, c’est de choisir consciemment de changer de fréquence.

➡️ Augmenter son taux vibratoire, c’est s’extraire de la conscience fragmentée, reconnecter avec sa boussole intérieure et retrouver l’unité avec le vivant.
Lisez : 👉 Pourquoi augmenter son taux vibratoire ?

➡️ Apprendre à dire NON, c’est poser des limites saines à l’inacceptable, refuser de collaborer aux violences normalisées, et guérir les blessures anciennes qui nous maintiennent dans la soumission ou l’oubli de soi.
Découvrez : 👉 Pourquoi dire NON est un acte de guérison profonde

🎧 Et pour vous accompagner concrètement dans cette transformation vibratoire, je vous invite à explorer notre playlist YouTube dédiée au taux vibratoire : méditations, clés vibratoires, inspirations pratiques et profondes pour élever votre énergie au quotidien.
➡️ 🎵 Playlist YouTube – Augmenter son Taux Vibratoire

💫 Le monde ne changera pas parce que nous le dénonçons. Il changera parce que nous vibrons autrement.

Articles connexes